Ma Poésie


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La Cage



À la femme poète ou écrivaine qui fuit
une fenêtre lumière suffit
un bon trou percé à même la cage
la cage dorée de l'enfant sage

Un genre ailé plane au-dessus de la cage
un oiseau génie voltige, mange l'araignée coincée
femme poète écrivaine a fui le carré de cette sacrée cage
génie de femme s'est libéré de la gluante toile d'araignée entrelacée


... Avec le peintre



Regarde ce décor enchanteur, d'un naturel
qui se prête si bien ma belle, pour l'aquarelle.
Vois clairières, champs, airelles,
Entends-tu là-bas ? Où bêle la jeune agnelle,
puis autour : sarcelles et ritournelles des crécerelles
ainsi au rendez-vous dans ce décor d'une beauté réelle.
Et Hop ! Un cheval trotte, sa couleur Isabelle
tire l'oeil vers le pont, au-dessus des poutrelles.
Sans tarder rentrons ma belle
Tirer fruit de ce paysage sur nos aquarelles.


Pour un poète ...



Pour un poème sublime
Je donnerais tout moi ... même mon corps
car je suppose que qui bien rime
merveilleusement aime et mieux étreint encore !?!


Duellité d'idées

(dédié à Najim...)

Parfois les fleurs de ton coeur
embaument mes jours.
Dans tes yeux scintillent des lueurs
qui me charment au détour.

Par contre,
quand je te questionne
pour réponse tu marmonnes
l'un pour ... l'autre contre ...
ça me désole,
par chance, tu me consoles.
Puis tu m'écoutes mieux
et l'on se comprend plus peu à peu.

Si, c'était une autre... celle qui t'attend
dis, l'aimerais-tu différemment ???

Si, c'était une autre ... Finalement
dis, m'aimerais-tu vraiment autrement ???


Questionnement

(dédié à Carole...)


Tu cherches désespérément l'âme-soeur,
tu dis ?
N'est-ce pas plutôt " l'homme-soeur " ?
que je lui répondis !!!

Vraiment,je te le souhaite...
ce bel - intelligent - super homme
empathique, qui se " femme "
et qu'à jamais vos coeurs ... ne se fannent !


Hymne au Soleil !



Soleil ! Soleil !
en plein ciel, pure merveille
tu égayes, tu émerveilles
qui, de l'abeille dans les groseilles
qui, du perce-oeille sur les salsepareilles

Soleil ! Soleil !
Par ta lumière enraye
la violence qui effraye
Par ta puissance balaye
au passage malchance vermeille
Surtout prodigue au monde sage conseils,
avant de reprendre au couchant ton éternel sommeil.















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