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GENERALITES

Depuis le début des années 80, le gouvernement malien a entrepris des réformes économiques visant à simplifier la fiscalité, à réduire les déficits et à promouvoir le secteur privé. Le nombre d'entreprises privées a rapidement augmenté pour passer de 68,8% en 1989 à 81,4% en 1993. Le secteur privé emploie à l'heure actuelle plus de 90% de la population du Mali.

Outre l'agriculture et le commerce, les principaux sous-secteurs sont la construction, la transformation alimentaire, les boissons, le tabac, la construction, le transport et l'exploitation minière. Le Mali dispose de ressouces non-négligeables, particulièrement dans le domaine de la pêche et des mines, mais la plupart d'entre elles sont loin d'être exploitées à leur plein potentiel.

Les ressources minières

Le Mali dispose de gisements d'or (au troisième rang des recettes d'exportation), de minerais de fer, de bauxite, de phosphates et de marbre. Les exportations au cours des cinq à dix prochaines années pourraient être de 10 à 15 tonnes d'or par an en comparaison aux 4,3 tonnes produites en 1990.

Filière des cultures industrielles

La transformation des produits du secteur primaire est encore peu exploitée par l'entreprise privée. En effet, seule une très petite quantité de coton (environ 2%) est transformée en produit consommable. Pour sa part, le blé est auto-consommé dans sa zone de production. Les quantités de blé ne suffisent pas aux besoins du pays en entier.

Le secteur de l'élevage

En 1994, on comptait 5 542 000 bovins, 12 552 000 ovins-caprins et 259 000 camelins. Ces derniers se répartissent sur l'ensemble du territoire national. En 1993, la production de lait avait été estimée à 1 061 563,3 tonnes (bovins et camelins). Pourtant le Mali est dépendant des importation de lait en poudre et de lait concentré en raison de l'insuffisance des moyens conservation à longue durée.

Au Mali, l'aviculture industrielle, consistant en la production de poulets et d'oeufs de consommation, est pratiquée à Bamako. Sa localisation sur la rive gauche du fleuve Niger, dans une vallée très fertile, est propice à l'agriculture, au commerce et à la pêche. La pêche de poissons d'eau douce est une tradition au Mali. A peu près 10 kg par personne sont consommés annuellement et une quantité considérable de poisson séché ou fumé est aussi exportée vers le Ghana et la Côte d'Ivoire. Cependant, à Sélinqué, 4000 tonnes de poisson sont pêchées annuellement sur un potentiel de 17 000 tonnes. A Manantali, on capture environ 200 tonnes de poisson par an avec le même potentiel.

Secteur de l'agriculture

Les opportunités d'investissement dans ce secteur, sont, entre autres, la transformation des céréales sèches (blé, mil, sorgho, maïs, riz) et la commercialisation des intrants et des produits sous-dérivés. Le maïs, après la dévaluation de la monnaie, a connu une forte demande surtout de la part des aviculteurs du Sénégal. Ceci donne au Mali l'opportunité de se positionner comme le plus grand fournisseur de produits à base de maïs. Les produits frais de fruits et légumes subissent une grande irrégularité saisonnière. Quant aux volumes des produits transformés, ils sont peu importants. La transformation des fruits et légumes est très faible par rapport aux surplus saisonniers. Cette transformation concerne notamment la mangue, la tomate, l'échalotte, le cornichon, le gombo, la carotte, la courge, le tamarin, la goyave, l'orange, etc.

Champs

Les principaux partenaires commerciaux (1994) 

Cote d'Ivoire..28.8% 
France..22.3% 
Senegal..15% 
Belgique..9.5% 
Hollande..4.4% 
Espagne...3.3% 
Grande Bretagne..1.2% 
USA..1.05% 
Allemagne..1.26% 

Source: BCEAO 
 

Politique monetaire 
Le Mali est membre a part entiere de l'Union Economique et Monetaire de l'Afrique de l'Ouest (UEMOA). Tout comme dans les autres Etats membres de l'Union, le Franc CFA est la monnaie en circulation au Mali. 
Les objectifs de l'UEMCA s'articulent autour de trois preoccupations essentielles: 

Pouvoir au financement de l'economie tout en assurant une saine gestion de la monnaie comme le F CFA

Intensifier la participation de la BCEAO au financement du developpement 

contribuer par tous les moyens appropries a l'africanisation des economies, notamment en encourageant l'emergence des petites et moyennes entreprises nationales.

 

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