Par une froide nuit,
Enfin arrivée chez lui,
Le couvert était mis,
Un repas était servi.
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Mais là n’était pas nos attentions,
Tout pouvait bien bruler dans les chaudrons,
Un regard nous avait sufi,
Nous n’avions pas d’apétit.
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Sa main toucha ma peau,
Un frisson parcouru mon dos,
Croyant que j’avais froid il m’enlaça.
Il m’embrasa.
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Au début, tout doucement,
Puis passionnément,
Ses mains arpentaient mon être,
Les miennes ne pouvaient s’arracher à sa tête.
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Je me retrouvai allongée,
Sur son lit rouge sang,
Sans trop savoir comment,
Lui au dessus de moi penché.
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Il commença,
Il me désabilla,
Enlevant morceau par morceau,
Caressant ma peau,
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J’entrepris d’enlever sa chemise,
Mais de ses baisés brulant il m’en empécha,
Il m’avait fait comprendre que ce n’était pas de mise,
Il se leva et se désabilla.
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Comme toutes les histoires,
Deux fins seulement il peut y avoir,
Mais la nuit sera blanche, ça je peux vous l’affirmer,
Car moi je le sais.
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